samedi 10 juillet 2010

Brèves d'humour


 Repérées sur le site du Monde.fr (par un dénommé Hervé Le Tellier, dans une rubrique intitulée "Papier de verre") quelques "brèves" d'actualités, sous une forme humoristique.



- C'est magnifique, deux ministres qui démissionnent tant ils ont le "sens de l'honneur". Je ne connais qu'un spectacle plus beau : trois ministres qui démissionnent.

- Gagné au Scrabble grâce au "rilance" - ri comme rigueur, lance comme relance - de Christine Lagarde. Quand une idée ne vaut rien, on peut toujours poser le mot sur "mot compte triple".

Le reality-show s'appelait "Trompe-moi si tu peux". Un candidat se suicide. Le jeu est déprogrammé de M6.
Le jeu "Finance-moi si tu peux" continue sur tous les médias.
 
- "Méthodes fascistes". Grâce à Morano et Bertrand, nous voici au point Godwin du non-débat, à la "reductio ad hitlerum". Tomber au fond permet de ne pas répondre sur le fond (et sur les fonds), au fond.

- L'horoscope du vendredi Amour : faites-le, qui sait de quoi demain est fait ? Santé : si vous y tenez, pourquoi être aussi bavarde ? Travail : Ah, vous, vous avez été comptable chez Mme B.


D'autres citations...plus classiques:

-  "Ceux qui ont le mieux parlé de la mort sont morts". Jules Renard

"On nous dit que l'homme n'utilise que 10% de son cerveau ; c'est peut-être mieux ainsi." Anonyme

- " Le premier gouvernement à contester, c'est sa mère". G.Bedos

15 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

    RépondreSupprimer
  2. guy bedos a en partie raison mais en partie seulement.

    en psychologie : notre relation au pouvoir est déterminé par notre rapport au père

    c'est une explication probable aux violences urbaines. la place du père étant aujourd'hui parfois vacante ou floue, le rapport au pouvoir des nouvelles générations s'en trouve affecté

    t et m

    RépondreSupprimer
  3. tanguy donne des lecons lui qui a collaboré ds la gestion désastreuses de gg

    RépondreSupprimer
  4. Tribulations d'un Chti à New-York

    Qui aurait cru qu’un vieux gaucho traverserait l’Atlantique pour se rendre en terre ultralibérale ? Plus est, à Manhattan !
    Coup de tête ou, coup de cœur ? J’ai donc décidé d’aller me frotter à nos vieux « fantasmes » sur l’Amérique.
    Tout petit, j’entendais mes vieux arrières grands-parents me parlaient de leurs cousins. « Tes oncles d’Amérique » me disaient-ils.
    Vous et moi, enfants de l’immigration, avons tous, n’est-ce pas, un oncle d’Amérique ?

    JFK Air port.
    Il n’est pas facile de poser les pieds ici. Cela commence par une inspection détaillée des bagages à main, une fouille au corps dans les règles de l’art ; je ne suis pourtant qu’en terre de transit à Heathrow .A la douane, un questionnaire de « moralité » m’attend, mieux vaut savoir lire l’anglais : il ne s’agit pas de se tromper.
    Je suppose que mon air badaud accélère les formalités d’usage. On vérifie mes données biométriques. Ouf, j’y Suis. Welcome to America ! Ilove America.
    Air Train.
    C’est le nom de métro aérien automatisé qui m’emmène à Jamaïca Station. Je prends mon ticket à l’arrivée avant de franchir la « gate ».
    Metro Card.
    Quatre étages plus bas, c’est le métro. Au guichet, j’achète, pour une cinquantaine de dollars, une « forteen unlimited card ».
    La ligne E me conduit à Lexingston Avenue. Mes pieds font le reste du chemin, ils m’amènent sans peine dans la 47ème rue. Je respire, j’écoute la ville.
    Le décalage horaire ?Je ne le connais pas pour l’instant.
    Si mon horloge biologique est en « stand by », je décide de me régler à l’heure d’ici.
    Vendredi
    Il est 7h00, je suis prêt. J’ai pris soin de contacter mes proches et . m’enquerre des nouvelles du monde en écoutant le 13h00 de France Inter.
    J’ai faim. Mon petit déjeuner est pantagruélique ; l’horloge biologique a dicté ma commande.
    Je pensais mon anglais médiocre. Apparemment, je me fais comprendre sans avoir à répéter .
    Descente de la 47ème rue : 5ème Avenue.
    Je tourne à droite en direction de Central Park.
    Mes yeux ne savent plus où regarder : mon cerveau doit me réapprendre le regard.
    Vive la géométrie !
    Magnificence des trois dimensions. C’est gigantesque, immense, et malgré cela, cette géométrie est perceptive : elle est humaine.
    Tout semble s’imbriquer l’un dans l’autre pour créer un ensemble harmonieux.
    « Nouveau Monde », tu commences à me séduire. Les architectes ont donné libre cours à leur art.
    Ce fou dessin de la ville a aussi du engendrer de nombreuses souffrances humaines.
    Appareil photo en main, je fige les images en remontant l’avenue.
    Assis sur le banc d’un square à Grand Army Plazza, mon aide mémoire visuel m’indique « erreur zoom ». Le problème sera résolu dimanche.
    Sur le retour, via la 2ème Avenue, je note de vieux résistants centenaires en briques rouges qui dressent fièrement leurs trois étages. J’avais précédemment remarqué un immeuble de style haussmannien dans la 75ème rue.

    Jean-Eric
    à New-York

    RépondreSupprimer
  5. Tribulations d'un Chti à New-York

    Qui aurait cru qu’un vieux gaucho traverserait l’Atlantique pour se rendre en terre ultralibérale ? Plus est, à Manhattan !
    Coup de tête ou, coup de cœur ? J’ai donc décidé d’aller me frotter à nos vieux « fantasmes » sur l’Amérique.
    Tout petit, j’entendais mes vieux arrières grands-parents me parlaient de leurs cousins. « Tes oncles d’Amérique » me disaient-ils.
    Vous et moi, enfants de l’immigration, avons tous, n’est-ce pas, un oncle d’Amérique ?

    JFK Air port.
    Il n’est pas facile de poser les pieds ici. Cela commence par une inspection détaillée des bagages à main, une fouille au corps dans les règles de l’art ; je ne suis pourtant qu’en terre de transit à Heathrow .A la douane, un questionnaire de « moralité » m’attend, mieux vaut savoir lire l’anglais : il ne s’agit pas de se tromper.
    Je suppose que mon air badaud accélère les formalités d’usage. On vérifie mes données biométriques. Ouf, j’y Suis. Welcome to America ! Ilove America.
    Air Train.
    C’est le nom de métro aérien automatisé qui m’emmène à Jamaïca Station. Je prends mon ticket à l’arrivée avant de franchir la « gate ».
    Metro Card.
    Quatre étages plus bas, c’est le métro. Au guichet, j’achète, pour une cinquantaine de dollars, une « forteen unlimited card ».
    La ligne E me conduit à Lexingston Avenue. Mes pieds font le reste du chemin, ils m’amènent sans peine dans la 47ème rue. Je respire, j’écoute la ville.
    Le décalage horaire ?Je ne le connais pas pour l’instant.
    Si mon horloge biologique est en « stand by », je décide de me régler à l’heure d’ici.
    Jean-Eric

    RépondreSupprimer
  6. Vendredi
    Il est 7h00, je suis prêt. J’ai pris soin de contacter mes proches et . m’enquerre des nouvelles du monde en écoutant le 13h00 de France Inter.
    J’ai faim. Mon petit déjeuner est pantagruélique ; l’horloge biologique a dicté ma commande.
    Je pensais mon anglais médiocre. Apparemment, je me fais comprendre sans avoir à répéter .
    Descente de la 47ème rue : 5ème Avenue.
    Je tourne à droite en direction de Central Park.
    Mes yeux ne savent plus où regarder : mon cerveau doit me réapprendre le regard.
    Vive la géométrie !
    Magnificence des trois dimensions. C’est gigantesque, immense, et malgré cela, cette géométrie est perceptive : elle est humaine.
    Tout semble s’imbriquer l’un dans l’autre pour créer un ensemble harmonieux.
    « Nouveau Monde », tu commences à me séduire. Les architectes ont donné libre cours à leur art.
    Ce fou dessin de la ville a aussi du engendrer de nombreuses souffrances humaines.
    Appareil photo en main, je fige les images en remontant l’avenue.
    Assis sur le banc d’un square à Grand Army Plazza, mon aide mémoire visuel m’indique « erreur zoom ». Le problème sera résolu dimanche.
    Sur le retour, via la 2ème Avenue, je note de vieux résistants centenaires en briques rouges qui dressent fièrement leurs trois étages. J’avais précédemment remarqué un immeuble de style haussmannien dans la 75ème rue.

    Jean-Eric
    à New-York

    RépondreSupprimer
  7. fait attention jean éric en raison de cette architecture verticale on a tendance a oublier que NY est une ville de bord de mer. Notre peau ne l'oublie pas et c'est souvent cuisant.
    sinon si tu as l'occasion d'emprunter sur environ 1KM le chemin piétonnier de Brooklyn bridge (tu es au dessus des voiture)
    quand tu te retournes et là....
    la skyline
    au coucher de soleil c'est encore plus beau

    t et m

    RépondreSupprimer
  8. Si je comprends bien, Jean-Eric, 3 menaces pèsent sur toi:

    - l'obésité: si tu manges quand ton horloge biologique te le signale, plus quand les autres sont à table...

    - la conversion à l'American way of life. On commence par l'attirance par l'architecture, puis on guigne vers le spectacle dans la rue, ensuite la culture et on finit par...acheter un jean et un appareil photo et par tomber amoureux! (Rappelle-toi la rentrée début septembre!)

    - l'endoctrinement: souviens-toi que les générations Devedjan, Madelin, Longuet, Giscard, Chirac... ont soi-disant "tout compris" lors de leur séjour in USA. Tu as vu ce que cela a donné!
    Résiste donc! Reviens par Cuba pour effacer les mauvaises idées qui pourraient te contaminer...

    RépondreSupprimer
  9. Mme Daussin va t-elle regarder les poneys tournaient au Bord des Eaux cet été ???

    RépondreSupprimer
  10. a JEAN ERIC
    Je suis allée 2 fois a New york et j ai adoré, doc je te comprends!A chaque coin, on tombe sur un spectacle unique ou les contraires se juxtaposent! je me souviens de la cathedrale st Patrick, notamment!
    pour les repas, tu vas vite voir que l on mange toute la journée, dans la rue! Aussi bien les hommes d affaires que les autres.
    Essaie d aller à mystic, c est un port de pêche des premiers migrants!
    bon séjour! marie

    RépondreSupprimer
  11. Mr Alpern, est-ce que l'on peut dire que l'ensemble des forces de gauche soutient la majorité municipale et son alliance de fait avec le FN?

    Toutes les forces sauf ...le PC!

    Le PS a clairement fait savoir qu'il était favorable à la majorité, et a entériné ainsi l'union avec le FN.
    Le MRC, n'en parlons pas puisque Alexandre tire les ficelles
    Les Verts puisqu'ils ont un représentant dans la majorité municipale, qu'ils n'ont jamais désavoué...Les explication données ici par quelqu'un des Verts étaient surréalistes

    Quant on voit que la droite n'a même pas désavoué les propos de Bouquillon et que L Bocquet va adhérer au FN (c'est déjà fait en ce qui concerne les idées!), on se dit que le FN rassemble presque la majorité des Héninois, sauf quelques hurluberlus minoritaires: PC, Modem, Alpern, Ferrari...Cela fait peu, n'est-ce pas?

    RépondreSupprimer
  12. Bien, que le site du fnar s 'arrête au 3 juillet, apres les quartiers d été de Darcy! On pourra ainsi admirer quelques élus en pleine action, et, cerise sur le gateau , on pourra les admirer tant que l on veut! merci le fnar

    RépondreSupprimer
  13. les musulmans se rendent à La Mecque , les communistes allaient à Moscou , les cathos à Lourdes et Jean Eric à New York , en tous cas les moins dépensiers vont à Cauchy à la Tour ; quant à moi ,hormis les deux poles non encore monopolisés , je pense , je ne vois pas d'autres destinations;

    RépondreSupprimer
  14. tanguy voit rouge10 juillet 2010 à 20:35

    rambouillet la droite en tete au premier tour barrage au ps tatine est venu soutenir la candidate verte

    RépondreSupprimer
  15. Jean-Eric.

    Bon séjour, oui à te lire (tardivement), je sens que tu as l'air très bien.
    Mais comme dit Alain, attention à la "conversion à l'American way of life".....ou à "l'obésité" et "chasse les mauvaises idées ".......!!!

    Bon séjour, reviens-nous comme tu es parti....!

    F.

    RépondreSupprimer