Bloc-notes

Copé:«Mes mains et mes bras sont grand ouverts". (sic!)  

Cela avait commencé très fort, chez les Fillonnistes: "L’UMP n’a pas besoin d’un agitateur qui défend des idées contestataires du niveau de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen", Christian Estrosi, le motodidacte maire de Nice; qui fit mieux, dimanche: "La fraude et le mensonge n'existent pas chez nous. Ni à Nice, ni ailleurs. Ce sont leurs méthodes". F. Fillon anticipait, dimanche soir: il "ne se laissera pas voler la victoire". "C'est un dysfonctionnement majeur qui fait peser un doute très important sur cette élection". Autour de lui, on parle de "putsch médiatique", "de "fracture ".

Dimanche soir, "la nuit des longs couteaux", J.F Copé parlait de «bourrage d’urnes» et, malgré ces fraudes, il estimait avoir gagné. Valérie Rosso-Debord tweete: "etrange à Nice 1178 bulletins pour 590 signatures ....les morts ont voté ??" Elle et Estrosi: le parfait amour? L'inéffable Nadine Morano n'a pas failli à sa réputation: «le premier parti de France a vécu un bel exercice démocratique». Rachida Dati, par haine de Fillon, a eu la même réaction. Qui a copié sur l'autre?Cette dernière, spécialisée en recherche de paternité, devrait bientôt confirmer qu'elle fut la première.

L'experte Ségolène Royal, se fie à son expérience: «quand on tient l’appareil, c’est plus facile d’arranger les résultats».

Quant aux Jeunes écologistes, en phase avec l'actualité, dimanche soir: "l'UMP a 2 papas aussi"...